Mardi 3 Juin 2025
Se reconvertir sans être seul : comment (re)construire sa “tribu” professionnelle ?
Plusieurs d’entre vous l’ont sûrement expérimenté : quand nous quittons le monde du salariat, nous ne laissons pas qu’un poste ou un bureau derrière nous.
Pour la plupart d’entre nous, nous quittons aussi un cadre social structurant : une équipe, des collègues avec qui nous partagions potins, réussites, galères... Nous disons parfois au revoir à toute une famille professionnelle pour nous lancer à pieds joints dans l’aventure entrepreneuriale.
Sans collègues, sans discussions informelles, sans ce petit temps de relâchement autour de la machine à café ou attablés à notre restau préféré, les décisions pèsent plus lourd, les doutes prennent plus de place.
D’ailleurs, la solitude est l’un des écueils les plus fréquents chez celles et ceux qui se reconvertissent vers un modèle entrepreneurial ou freelance.
Beaucoup de freelances que nous accompagnons se demandent au démarrage : que devient cette dimension sociale quand nous devenons indépendants ?
Comment faire le deuil de ce petit café du matin que nous prenions avec nos chers collègues ? Comment dire au revoir aux afterworks de décompression ? Et maintenant, comment pouvons-nous reconstruire notre cercle professionnel en étant indépendant ?
Avant de devenir freelances, bon nombre d’entre nous s’imaginaient quitter le salariat pour la liberté, en travaillant depuis une terrasse de café ensoleillée, libres et maîtres de notre temps, à réseauter et rencontrer chaque jour des porteurs de projets formidables.
Si une partie de ces clichés sont vrais, nous n’imaginions pas la solitude. Ce silence pesant après la fermeture de l’ordinateur.
Cette impression que les autres réussissent mieux avec, en toile de fond, cette question lancinante qui nous trotte dans la tête : suis-je vraiment fait pour ça ?
Autant vous le dire tout de suite : la réponse est oui !
Il suffit “simplement” de ne pas tomber dans le piège du solopreneur, isolé de ses pairs. Oui, vous êtes à la tête du navire, oui vous maîtrisez (relativement) votre planning, oui vous définissez (la plupart du temps) vos priorités. Cela ne signifie pas pour autant que vous devez tout faire en solitaire, sans l’aide de personne.
Il est possible – même vital – de recréer un entourage pro solide. Que l'on s'entende, il ne s’agit pas là de faire une copie-conforme du modèle salarial, mais bien de vous constituer une tribu sur-mesure : bienveillante, stimulante, et choisie.
Aujourd’hui, nous aimerions vous parler de l’importance d’avoir un entourage bien ficelé en reconversion.
Celles et ceux qui viennent vous donner un coup de main de mille et une manières : cette podcasteuse qui vous donne le sourire au réveil avec ces histoires entrepreneuriales inspirantes et rigolotes, ce mentor qui vous redonne la pêche quand vous n’y croyez plus, cette communauté d’entrepreneurs avec qui vous pouvez partager vos échecs, mais aussi vos plus belles réussites, ces livres qui vous donnent envie d’aller de l’avant et remplissent votre cerveau d’un milliard d’idées créatives…
Bref, vous êtes beaucoup moins seul que vous ne le croyez, à condition d’activer les bons leviers !
L’expérience de Margaux : recréer un tissu social
Dans son blog Margaux Lifestyle, l’entrepreneuse nous offre un témoignage sincère et poignant sur la solitude du freelance. Son histoire nous a inspiré et nourri de réflexions sur le sujet : nous vous en partageons un bout.
Le grand saut : quitter Paris pour le Sud
Margaux, passionnée par l'écriture, décide de se lancer en tant qu'écrivain public et rédactrice web. Pour concrétiser ce projet, elle quitte Paris, ses amis et son réseau professionnel, pour s'installer chez ses parents dans le sud de la France. Une décision motivée par le besoin de sérénité financière et d'un cadre propice à la création.
Cependant, cette transition n’est pas sans défis. Le manque de contacts humains et de stimulation intellectuelle se fait rapidement sentir. Margaux se retrouve isolée, sans collègues ni amis proches pour partager son quotidien, les doutes qui parfois l’envahissent ou les avancées dont elle aimerait se réjouir avec son entourage.
“Les seules personnes que je côtoie, et bien, ce sont mes parents. Si je suis ultra heureuse d’avoir retrouvé la douceur de vivre du Sud, je ne suis absolument pas comblée d’un point de vue sociabilité. C’est bien simple, je suis constamment toute seule.”
La solitude : un poids quotidien
Vivre chez ses parents, bien que réconfortant, ne comble pas le besoin d'échanges professionnels et sociaux.
Elle aspire à retrouver une indépendance, tant personnelle que professionnelle. L'idée de s'installer à Montpellier devient un objectif, synonyme de nouvelles rencontres, de dynamisme et d'opportunités.
“Aller courir en groupe, m’inscrire à un club de natation ou un studio de danses latines, participer à des afterworks d’auto-entrepreneurs… Bref, rencontrer du monde tout simplement et retrouver une vie un peu plus dynamique que celle que j’ai actuellement à Agde… Parce que clairement, je m’ennuie.”
Margaux n'est pas là seule. Vous créatrices, créateurs, graphistes, coachs, stylistes, photographes et autres freelances, vous savez de quoi elle parle. Travailler seul, manger seul, brainstormer avec soi-même… Parfois, c'est lassant.
Le choc de l’après-salariat
Margaux, auto-entrepreneuse, le dit avec lucidité : “Je commence à souffrir de la solitude. La vraie. Celle qui isole. Celle qui te fait douter.”
Elle a quitté Paris, lancé son activité, mais se retrouve face à une évidence : lancer son projet, c'est aussi reconstruire tout un tissu social.
Et elle n’est pas la seule à ressentir cette claque silencieuse. Quand nous sommes habitués à nous lever tous les jours de la semaine pour retrouver du monde (même ceux qu’on ne peut pas voir en peinture, mais qui nous offrent une présence). Cela fait tout bizarre de s’entendre en écho dans la cuisine.
Alors nous allons travailler au café, à défaut, pour plusieurs d’entre nous, de ne pas avoir les sous pour nous payer une place en coworking. Même lorsque nous en avons la possibilité, il nous manque ce sentiment d’appartenance.
Ici, chacun vient avec son projet, son activité, son “bébé”. Nous ne sommes pas de la même entreprise, nos univers n’ont parfois strictement rien à voir et il n’est pas évident de tisser des liens à partir de rien.
Le mythe du “solopreneur badass”
On nous vend souvent l’entrepreneuriat en solo comme une quête héroïque. Le freelance décide de tout, construit son projet, gagne son autonomie. Il est le chef de sa vie.
Toutefois, ce qu’on oublie de dire, c'est que les vrais héros ont toujours une équipe autour d’eux. Même Batman a Alfred. Même Beyoncé a ses choristes.
Margaux le dit très bien : “La solitude, voilà le problème. Mais aussi le manque de contact humain et de stimulation.” Ce n’est pas un caprice. C’est un besoin humain de base : être en lien.
Pourquoi est-ce si difficile ? Parce que quand nous travaillons seuls :
- Il n’y a pas de collègues pour ventiler entre deux visios;
- Pas de manager pour nous dire que nous avons bien bossé (même si, parfois, les clients sont sympas);
- Pas de rituels collectifs pour structurer votre journée.
Et même si vous êtes introverti ou hyper autonome, au bout d’un moment… ça gratte.
La solitude, ce tabou entrepreneurial
Dans son article Choisir de Réussir, l’entrepreneuse Élodie Florenti lève le voile sur cette réalité complexe : "Solitude et isolement... Non, non, je suis pas en train de fredonner 'Belle île en mer..' mais d'activer un truc encore assez tabou chez les entrepreneurs, dirigeants d'entreprise, solopreneurs, et autres indépendants."
Être entrepreneur, c'est parfois se retrouver seul face à ses décisions, ses doutes et ses réussites. Un isolement qui peut s’installer insidieusement, au fil des jours passés à travailler en solo.
Pourquoi cette solitude s’installe-t-elle ?
L’article souligne que cette solitude n’est pas toujours choisie : "Lorsqu'on devient un 'indep', on a tendance à croire que parce que l'on se jette seul dans la nouvelle aventure, on doit se débrouiller seul, tout faire tout seul, qu'on a les épaules assez solides pour gérer seul."
Cette croyance, bien que valorisante, peut conduire à un isolement professionnel et personnel.
Si nous y réfléchissons, il existe deux types de solitude : celle que l’on choisit et qui nous fait du bien et celle que l’on subit.
La solitude : un sentiment normal, pas une anomalie
Dans son intervention sur BFM Business, Ludovic Bado (créateur du podcast des indépendants) le répète : la solitude est normale. Et légitime. “Ce sentiment, il faut l’accepter pour pouvoir agir. Ce n’est pas une honte, c'est une réalité.”
Traduction : n'essayez pas de cacher cet état, même si vous en avez honte comme cette personne, qui est très gênée de manger seule au restaurant. C'est ok de travailler en solo, de déjeuner en solo et de parfois passer la journée en solitaire (en dépit des injonctions sociales).
Le podcasteur distingue deux catégories de solitude :
- la solitude factuelle : être physiquement seul dans un bureau, une voiture ou son salon
- la solitude ressentie : celle qui érode la motivation, qui pèse sur le moral, même si l’on est entouré de famille, de clients, d’amis
Si la première n’est pas forcément dérangeante (on peut aimer travailler seul à son bureau, passer un moment avec soi-même à lire un bon livre, se prendre une bonne douche…), la seconde est beaucoup plus lourde.
Autrement dit : à partir du moment où la solitude commence à nous peser, c'est le signal d’alerte.
Comme nous l'indique Ludovic, si la solitude s’enracine, elle peut devenir toxique et des signaux forts commencent à apparaître : “Un sentiment de solitude mal géré va générer des émotions négatives. On va se dire : je ne suis pas à la hauteur, je suis moins bon que les autres, je suis plus seul que les autres. En fait, là où il faut faire attention avec la solitude c'est qu’elle est insidieuse et va avoir des effets pervers. Elle va nous envoyer des signaux négatifs”.
La solitude n’est pas un bug, c’est un signal
En résumé, si la solitude est mal gérée elle devient pernicieuse.
Lorsque nous restons seul avec ce sentiment négatif, sans le partager avec notre entourage et/ou un professionnel, il finit par s’enraciner et se manifester par des signaux forts :
- Baisse d’énergie
- Procrastination
- Désorganisation
- Perte de confiance en soi
- Repli sur soi
D’après Ludovic, ces signaux s’installent progressivement, sans que nous nous en rendions forcément compte au début. “Vous allez avoir tendance un peu à vous démotiver et à perdre un petit peu le fil donc vous allez perdre en organisation, vous allez avoir des horaires un peu aléatoires, vous allez baisser votre niveau d’interaction, vous allez moins bien vous alimenter…”
En d’autres termes, l’isolement est un cercle vicieux : il nourrit la démotivation, accentue le retrait, jusqu’à impacter, par la force des choses, notre performance au travail.
Cela étant dit : comment arrête-t-on la machine ?
Prendre conscience : le premier pas vers l’action
Avant toute solution, Ludovic insiste sur une chose : être lucide sur son état.
“Il faut d’abord se poser des questions extrêmement pratico-pratiques. Est-ce que je suis organisé ou est-ce que je fonctionne de manière aléatoire ? On sait que le fait d'avoir une organisation va créer un cadre qui va être profitable pour son équilibre. Et quand on est désorganisé, généralement, c'est peut-être que la solitude a un impact sur son quotidien. Ensuite, est-ce que je reste continuellement à travailler seul ou est-ce que j'essaie d'être de sortir un peu de chez moi ?
Quand je suis solopreneur, auto-entrepreneur, freelance comme vous voudrez, on peut être aussi dans une démarche en se disant il y a des cafés, il y a de nombreux coworking qui permettent de sortir de cet isolement, donc est-ce que j'entretiens finalement cet isolement ? C'est l'une des questions qu'il faut se poser. Est-ce que mes horaires sont adaptés aussi à mon rythme de travail ? On a tous un rythme, une personnalité qui fait qu'on est peut-être plus du matin, peut-être plus du soir, etc. Est-ce que mes horaires sont cohérents avec mon rythme ?
En réfléchissant comme ça, en prenant de la hauteur sur son organisation, sur les mauvaises habitudes d'isolement qu'on a pris, sur des horaires qui ne seraient pas suffisamment réguliers, sur une organisation cadrée et structurée, en travaillant là-dessus, on va pouvoir petit à petit sortir la tête de l'eau, de cette solitude insidieuse qui nous enfonce vers quelque chose de très désagréable.”
Vous l’aurez compris, la première étape est de faire un bilan, un état des lieux sur votre situation actuelle, sans jugement aucun. Un simple constat qui vous permette d’agir concrètement.
A partir de là, nous vous recommandons 3 outils concrets pour sortir de la solitude entrepreneuriale, sans faire de chichis, juste ici.
Conseil nº1 - Créer du cadre : votre organisation est votre alliée
Vous pensiez que la liberté, c’était ne plus avoir d’horaires ? Plus de réunions ? Plus de planning ? Oui, mais non.
L’absence de structure alimente l’isolement. Ludovic nous en parle : « Si tu te lèves chaque jour à une heure différente, que tu bosses en jogging sans objectifs clairs, tu te désorganises… et tu t’enfonces. »
La solution ? Recréer une routine. Une vraie. Avec des horaires, des plages de travail dédiées, et surtout : un cadre qui vous ancre dans une dynamique professionnelle. Ce n’est pas parce que vous êtes seul que vous devez travailler comme un électron libre.
Vous êtes votre propre boss ? Alors devenez un bon patron pour vous-mêmes, comme vous le feriez avec un salarié (qui, probablement serait bien mieux traité).
Pour vous vous offrir un coup de pouce organisationnel, n'hésitez pas à planifier vos journées la veille et utilisez des blocs de temps (ou « bloc timing »).
Le bloc de temps, un bon levier contre la solitude entrepreneuriale
Le bloc de temps (ou bloc timing en anglais) est une méthode de gestion du temps qui consiste à planifier des périodes précises de la journée pour des tâches ou activités spécifiques.
Plutôt que de travailler à partir d'une simple liste de choses à faire (to-do list), cette méthode attribue à chaque tâche un créneau horaire déterminé dans l’agenda.
En résumé :
La journée est découpée en blocs de temps définis (ex : 8h–9h : lecture de mails, 9h–11h : travail sur un projet, etc.).
Chaque bloc est réservé à une seule activité (pour éviter de se disperser).
Le but est de réduire le multitâche, d'augmenter la concentration, et de minimiser les distractions.
Quel rapport avec la solitude des entrepreneurs ? Tout ! En utilisant le bloc de temps, vous pouvez planifier des moments dédiés à l’interaction sociale et prendre aussi conscience du temps que vous passez seul.
Quelques exemples concrets :
- Bloquer des créneaux pour des appels ou cafés virtuels avec d'autres freelances.
- Planifier des journées de coworking (en présentiel ou en ligne).
- Réserver du temps pour des événements de networking (meetups, webinaires, etc.).
D'une pierre deux coups, vous privilégiez un meilleur équilibre entre travail et vie personnelle, en bloquant du temps pour le repos, les loisirs, etc.
Psst, chez LiveMentor, on a même consacré une formation au sujet !
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Conseil nº2 - Briser l’isolement physique : coworkings, cafés, tiers-lieux…
Solopreneur ne veut pas dire ermite. Travailler seul, oui. S’enfermer, non.
Là encore, Ludovic est clair : « Tu dois te poser cette question régulièrement : est-ce que je contribue moi-même à mon isolement ? » Si la réponse est oui, il est temps de sortir. Littéralement.
Notre conseil : faires-vous une « routine de sortie pro ». Une matinée par semaine dans un espace de coworking. Un rendez-vous hebdomadaire dans un café propice au travail. Ou une inscription à des événements pros dans votre région.
Il est plus facile de s'y tenir lorsque c'est prévu au programme !
Les personnes que nous accompagnons chez LiveMentor sont unanimes : en instaurant ces moments de sociabilité, elles ont gagné un environnement stimulant, des visages familiers, parfois même des partenaires ou des clients.
De manière générale, on ne construit pas son business dans une bulle. Vous n'êtes (a priori) pas un moine digital. Vous êtes un entrepreneur et pour pouvoir exercer votre activité et la faire fleurir, il vous faut du contact.
Conseil nº3 - S’entourer des bonnes personnes (non, vos proches ne suffisent pas)
D'accord, vous êtes entouré. Oui, vous avez des amis, un compagnon, une famille aimante.
Mais non, ils ne comprennent pas toujours la réalité de votre quotidien.Le stress de l’incertitude. Le poids de tout porter seul. Le doute constant. La comparaison sur LinkedIn. Le syndrome de l’imposteur en mode sourdine permanente.
Comment lutter contre? En vous tissant un réseau d’entrepreneurs. Des gens comme vous. Qui parlent la même langue, qui vivent les mêmes montagnes russes.
Chez LiveMentor, vous avez la possibilité de rencontrer des milliers de personnes évoluant dans votre secteur ou dans d'autres. C'est l'occasion d'échanger avec des personnes qui savent vraiment ce que vous vivez, qui comprennent réellement le creux et le stress que peut laisser la solitude et qui partageront bien volontiers succès et galères avec vous !
L’essentiel, est de vous créer un cercle d’échange sans jugement, où vous pouvez ventiler, brainstormer, et parfois juste dire « je n'en peux plus ». Et entendre un « moi aussi ». Parfois, ça suffit.
Conseil bonus - Les cours gratuits de LiveMentor, ta tribu à portée de clic
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Mais au-delà du contenu (qui est déjà très quali), c’est l’ambiance qui fait la différence. Vous ne regardez pas une vidéo seul dans votre coin. Vous rejoignez une tribu. Une atmosphère bienveillante, vivante, où chaque commentaire vous rappelle : je ne suis pas le seul à galérer.
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En conclusion : n’attendez pas d’être au fond du trou ! La solitude, c’est comme une fuite d’eau. Vous pouvez l’ignorer un temps. Mais plus vous attendez, plus elle vous abîme.
Alors agissez maintenant et pas demain. Testez un coworking. Rejoignez un groupe. Reprenez le contrôle de votre agenda. Brisez le silence avant qu’il ne vous étouffe.
Vous n'êtes pas seul à vous sentir seul. Et vous n'avez pas à le rester.
D'ailleurs, n'hésitez pas à nous partager votre quotidien et vos petits conseils pour envoyer un pied de nez à l’isolement ! Nous vous lirons avec attention.
À dans deux semaines,
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