Mardi 20 Mai 2025
Être indépendant et parent : comment alléger sa charge mentale ?
Bonjour à toutes et à tous,
Fermez les yeux 2 minutes et essayez de vous rappeler la première fois que vous vous êtes imaginé devenir indépendant. Vous y êtes ?
Il est fort probable que beaucoup d’entre vous se soient visualisés en train de travailler à leur rythme, depuis la maison, avec la liberté de choisir leurs missions et leurs tarifs.
Passons maintenant à la réalité.
Si la liberté d’un indépendant est indéniable, l’univers des freelances n’est pas entièrement constitué de paillettes.
Nous avons pu le constater lors de nos accompagnements chez LiveMentor : beaucoup d’entrepreneuses et d’entrepreneurs nous confient avoir une charge mentale importante liée à l’administratif, la négociation des tarifs, la prospection, etc.
La charge mentale, c’est ce sac invisible que nous trimballons partout, rempli de « il ne faut pas oublier de… », « il faudrait que je pense à… », même quand nous essayons de décrocher en faisant tout autre chose, par exemple en prenant un verre en terrasse avec des amis (puisque les beaux jours sont là).
Vous voyez cet onglet ouvert dans votre tête qui ne se ferme jamais ? Il est en effet persistant dans nos esprits d’entrepreneurs, y compris chez les « parents-preneurs » !
Et justement, c’est d’eux dont nous vous parlons aujourd’hui.
Bon nombre d’entre eux nous l’ont avoué au cours de nos formations : entre les visioconférences à organiser pendant que les enfants hurlent dans le salon, les devoirs qui s’empilent pendant qu'ils tentent de finaliser un devis en retard, il y a cette impression permanente de ne jamais avoir une seule minute pour respirer.
En somme, l’équation indépendance + parentalité n’est pas vraiment synonyme de liberté…
C’est même souvent une double charge mentale.
La charge mentale, en quelques mots
Le terme de charge mentale, théorisé par la sociologue Monique Haicault, a été introduit dans les années 1980.
La sociologue y décrit comment les femmes, notamment celles en couple et mères de famille, doivent gérer simultanément les exigences du travail professionnel et les responsabilités domestiques, entraînant une surcharge cognitive.
En résumé, la chercheuse met en lumière le travail invisible de planification et d’organisation des tâches domestiques, souvent assumé par les femmes, même lorsqu’elles exercent une activité professionnelle.
Si les « maman-preneuses » restent majoritairement assujetties à la charge mentale, cette dernière s’invite progressivement chez leurs homologues masculins. Voilà pourquoi, dans cet épisode, nous abordons l’entrepreneuriat sous l’angle de la parentalité (sans pour autant nier les inégalités persistantes en matière de genre).
Une chose est sûre : quand on est à la fois son propre patron et le pilier de la logistique familiale, les choses se complexifient !
Vous êtes alors à la croisée des chemins entre deux mondes qui exigent votre attention constante : votre activité professionnelle et votre vie de famille. Bien souvent, vous vous retrouvez à jongler avec les deux… sans jamais pouvoir poser ces fameuses « balles » qui pèsent lourdement sur votre esprit.
La charge mentale, ce n’est pas seulement avoir beaucoup de choses à faire.
C’est surtout ce brouhaha mental permanent, cette liste interminable de tâches à ne pas oublier, de problèmes à anticiper, de rendez-vous à planifier, de repas à préparer, de projets à livrer…
D’après une récente étude réalisée par Partenamut en Belgique, 72 % des parents interrogés estiment que la charge mentale influence fortement leur vie, notamment dans la gestion des tâches familiales et l’anticipation des imprévus.
Un parent sur cinq indique ressentir des périodes de mal-être plusieurs fois par semaine.
Alors, faut-il renoncer à ses rêves de liberté professionnelle pour retrouver un semblant de sérénité familiale ? Heureusement, non.
Mais il est essentiel d’adopter de nouvelles stratégies et, surtout, de déconstruire certains mythes :
- Non, vous n’avez pas à être le parent parfait ET l’entrepreneur à succès d’une pierre deux coups;
- Non, tout ne se joue pas uniquement sur une meilleure organisation;
- Et non, culpabiliser ne fait pas avancer les choses.
Dans cet épisode, nous allons explorer des solutions concrètes pour alléger le poids du quotidien, en passant par des astuces d’organisation, des outils à mettre en place, mais aussi des conseils pour lâcher prise et accepter (enfin) que l’imperfection est parfois votre meilleure alliée, y compris dans la parentalité.
On se lance ?
Au fait, ça se traduit comment la charge mentale chez les parents ?
C’est cette chose sournoise qui vous réveille à 3 h du matin parce que – horreur – vous avez oublié de payer la cantine.
C’est ce fond sonore permanent dans votre tête qui, même lorsque vous essayez de vous concentrer sur votre client principal, vous glisse insidieusement : « Il ne reste plus de lait dans le frigo. », « N’oublie pas le cadeau pour l’anniversaire de Jules samedi. », « Tu dois aussi envoyer ce devis avant 18 h… ».
Bref, c’est cette conversation que vous avez avec vous-même en permanence, cette espèce de « to-do list » géante qui ne vous laisse jamais tranquille. Si elle ne s’affiche pas dans votre agenda, elle est bien là, épinglée à vos pensées en continu.
La sociologue Monique Haicault a été l’une des premières à mettre des mots sur ce phénomène, qu’elle qualifie de charge mentale. Cela se traduit par le fait de devoir penser à tout, tout le temps, pour tout le monde.
Combo gagnant : lorsque nous sommes parent et entrepreneur, nous explosons fréquemment notre charge mentale en un temps record.
En plus de piloter votre activité, de gérer vos clients et votre trésorerie, vous êtes aussi le directeur logistique du foyer : responsable des stocks (frigo, goûters, couches… vous connaissez la chanson), responsable du planning (orthodontiste à 16 h, réunion à 17 h, etc.), et accessoirement… un être humain qui essaie de survivre au milieu de tout ça.
Résultat ? Vous ne coupez jamais vraiment. Même en pleine partie de Lego ou à la sortie du parc, vous pensez déjà à votre prochaine échéance.
Et même devant votre ordinateur, vous culpabilisez de ne pas passer assez de temps avec vos enfants.
La charge mentale du parent entrepreneur : quand la liberté devient un piège doré
Vous pensiez avoir tout compris : devenir indépendant, c’était LA solution pour mieux concilier vie pro et vie perso. Finis les horaires imposés, place à la flexibilité.
Seulement voilà, personne ne vous avait prévenu qu’en réalité, cette fameuse liberté pouvait aussi devenir votre plus gros piège.
En tant qu’entrepreneur et parent, vous portez sur vos épaules deux casquettes à plein temps. Bien souvent, sans même vous en rendre compte, vous jonglez en permanence entre un appel client passé à voix basse pendant la sieste du petit dernier et une réunion Zoom improvisée entre deux allers-retours à l’école.
Vous n’êtes jamais vraiment là à 100 % : ni au travail, ni en famille.
C’est ce qu’on appelle la charge mentale invisible, celle qui ne figure dans aucun planning, mais qui colonise vos pensées du matin au soir (et parfois même la nuit).
La preuve en est : une étude publiée dans l'International Journal of Entrepreneurial Behaviour & Research démontre que les parents entrepreneurs sont particulièrement vulnérables au stress chronique, parce qu’ils sont pris en étau entre des responsabilités familiales omniprésentes et la pression de faire survivre (et prospérer) leur activité.
De surcroît, contrairement aux salariés qui bénéficient d’un cadre plus strict, avec un nombre d’heures (plus ou moins) fixe en entreprise, les indépendants sont leur propre patron. C’est donc à eux de dessiner cette frontière entre vie personnelle et vie professionnelle… Et c’est précisément là que le bât blesse.
Bilan des courses : en tant que parent entrepreneur, vous avancez en apnée, sans jamais souffler. Votre cerveau tourne en boucle sur les prochaines factures à régler, le rendez-vous chez le pédiatre à ne pas oublier et ce client à relancer. Et au passage, vous avez oublié la dernière fois que vous avez pris une vraie pause sans culpabiliser.
Néanmoins, rassurez-vous, il existe des solutions (autant divulgâcher l’info tout de suite : non, ce n’est pas juste une question de meilleure organisation).
Premièrement, arrêtez de viser le “parfait équilibre”
Acceptez qu’il y ait des jours où le travail passe en premier, et d’autres où la famille a davantage besoin de vous. Et d’autres encore, où vous vous accordez un temps de pause : rien que pour vous, pour mieux repartir. Vous êtes humain, pas une machine à tout concilier parfaitement.
Deuxièmement, externalisez ce qui vous pèse le plus
Oui, même à la maison ! Faites comme vous le feriez pour votre activité professionnelle : déléguez. Une aide-ménagère, un service de livraison de repas ou même un échange de baby-sitting entre amis (au-delà de la répartition des tâches parentales)… Tout est bon à prendre pour souffler.
Troisièmement, bloquez du temps non négociable pour vous
Même si ce n’est qu’une heure par semaine. Une heure rien qu’à vous, pour respirer, marcher sans but, ou lire un livre sans interruptions.
Soyons honnêtes, cette fameuse charge ne disparaîtra pas du jour au lendemain. Toutefois, en arrêtant de la nier et en l’affrontant avec des stratégies concrètes, vous retrouverez de l’espace mental… et surtout, un peu de cette fameuse liberté pour laquelle vous vous êtes lancé.
Inspirez-vous des autres, mais sans vous comparer pour autant
Dans son podcast Young, Wild & Freelance, l’entrepreneur Thomas Burbidge explore différents pans du freelancing, notamment celui de la parentalité. Il y consacre un épisode intitulé Peut-on vraiment concilier parentalité et entrepreneuriat en freelance ? 3 indéparents répondent, que nous vous recommandons vivement.
Flavie, Laura, Cédric et Magalie nous livrent leur expérience en matière de « parent-preneuriat ».
D’entrée de jeu, Flavie donne le ton. Pour elle, être indépendante, c’est la seule manière de vivre pleinement sa parentalité. Elle savoure cette liberté, même si elle reconnaît sans détour : « Ce n’est pas simple tous les jours.
Et c’est bien là tout le paradoxe : cette liberté tant recherchée s’accompagne d’une charge mentale monumentale.
Cédric, lui, a connu les deux mondes : salarié et indépendant. Et il le dit sans détour : « Il n’y a pas de mieux ou de pas mieux, il y a deux expériences très différentes. » En tant que salarié, il a pu prendre un congé paternité serein. En tant qu’indépendant ? Même en anticipant, « il restait toujours cette petite tâche de fond en mode : est-ce que le business, ça va ? Est-ce que le chiffre d’affaires tiendra ? ». Toutefois, il a pu prendre le temps qu’il voulait pour son enfant, à sa manière, sans avoir à rendre de comptes.
Il n’y a donc probablement pas de bonne ou de mauvaise situation (vous l’avez ?).
Le nerf de la guerre ? Le temps. Ou plutôt… son absence.
Laura confesse que le plus dur est de faire de la place pour cet enfant dans un agenda déjà bien rempli. Avant sa maternité, elle se demandait : « Quelles concessions va-t-on faire pour accueillir cet enfant ? » Elle parle même d’un véritable basculement identitaire : « Je pensais pouvoir rester cette business woman, rentrer à 21 h le soir… et en fait, rien de tout ça. J’ai été piquée par la maternité, par le fait qu’on a un petit être qui nous a rejoints et dont nous sommes les seuls responsables de son avenir. »
Une claque monumentale qui vient remettre en question tout l’équilibre construit jusque-là. Et un changement d’identité que nous sommes rarement préparés à vivre.
Parent solo, parent à deux… chacun son chaos organisé
Le podcast souligne un point crucial : la charge mentale est exponentielle quand nous devons tout gérer en solo.
Laura raconte : « Je suis arrivée à Nantes enceinte de huit mois sans connaître personne. Mon mec était en déplacement trois jours par semaine. J’ai dû me créer un village. »
Elle témoigne ainsi de l’importance de bien s’entourer, parfois façon « système D ». Amis, parents, proches… Bon nombre de parents entrepreneurs vous le diront : l’entourage est salvateur quand nous devons être au four et au moulin !
Magalie, de son côté, rappelle que tout est une histoire d’adaptation : « Quand je regarde une personne indépendante, il y a cette capacité incroyable à s’adapter. C’est pareil en parentalité. On est obligés de s’ajuster en permanence. »
Le surf est d’ailleurs la parfaite métaphore : une vague trop forte, et il faut rééquilibrer, ajuster, accepter de tomber… et remonter.
La liberté… oui, mais à quel prix ?
L’indépendance est souvent vantée pour la liberté qu’elle procure.
Néanmoins, dans les faits, la liberté a un coût : celui de l’organisation (ou du chaos maîtrisé).
Cédric, pragmatique, a développé tout un système : « Je porte beaucoup bébé en porte-bébé, j’ai acheté un tapis de marche et même un berceau suspendu à une poutre de mon plafond pour pouvoir bosser pendant qu’il dort. »
Quand on vous dit que l’entrepreneuriat, c’est aussi savoir innover…
Mais attention, cette liberté peut rapidement se transformer en une prison dorée. Flavie met en garde : « Je suis devenue freelance pour la liberté, mais au final, toutes les interruptions, les maladies, la bronchiolite… c’est moi qui devais tout gérer, et je voyais les journées défiler sans réussir à facturer. »
Car oui, la liberté a un prix et elle peut parfois nous coûter cher.
Pour ne pas vous faire happer par cette surcharge, commencez par faire le point sur le planning, de façon méthodique. À cet effet, nous vous recommandons chaudement d’aller jeter un œil à notre Carnet du Temps ! Il contient d’excellentes méthodes pour reprendre le contrôle de votre emploi du temps, optimiser certaines tâches et abaisser votre charge mentale.
Autre conseil pour vous lâcher du lest : accepter que tout ne se passe pas comme prévu.
Anticiper, mais accepter l’imprévu
Comme beaucoup de freelances, vous avez probablement lancé votre activité pour être libre, pour maîtriser votre emploi du temps et pour concilier vie pro et vie perso.
Si chaque journée est une course contre la montre, si vous jonglez entre les rendez-vous clients, les devoirs des enfants, les courses, les imprévus… et que vous avez l’impression de ne jamais en faire assez : vous êtes victime d’un syndrome bien connu chez les parents entrepreneurs. La recherche constante de perfection.
Il est temps de lâcher prise. Comme le souligne Harmonie Mutuelle dans son article Fuyez la charge mentale :
« La première chose à faire est d’accepter d’être imparfait (et de cesser de se comparer aux autres parents). » Vous n’êtes pas rentré à temps pour coucher votre enfant ? Vous n’avez pas pu prendre ce long week-end comme prévu ? Cela arrive, vous n’êtes pas un monstre pour autant.
L’important est de vous aménager un rythme qui ne vous mette pas sur les rotules.
Et si vous disiez à votre client que vous lui ferez un livrable un jour plus tard ? Et si vous vous autorisiez à prendre le mercredi après-midi une semaine sur deux ?
Allez-y petit à petit, sans pour autant chambouler tout votre emploi du temps.
Vous constaterez bien assez vite « qu’il n’y a pas mort d’homme » si vous décalez un rendu ou si vous faites une journée un peu moins sportive. Rappelez-vous que la pire des pressions, c’est celle que nous nous mettons à nous-mêmes.
Accepter l’imperfection, c’est reconnaître que vous êtes humain, que vous avez des limites, et que c’est parfaitement normal. Finalement, viser la perfection s’avère souvent une source de stress inutile et contre-productive. Dites-vous qu’en face de vous, il y a aussi des clients et partenaires partageant les mêmes problématiques !
Alors, comment faire ?
Conseil nº2 : priorisez
Identifiez ce qui est vraiment important pour vous et concentrez-vous sur ces aspects. Tout ne peut pas être une priorité. (Psst, notre formation en gestion du temps peut vous aider dans cette optique.).
Rappelez-vous, dans cet épisode de Mission : reconversion !, nous vous parlions de notre rapport au temps.
Rien de tel que la priorisation des tâches pour vous aider à sortir la tête de l’eau et à ne pas tout faire en même temps ! Jérôme, notre formateur chez LiveMentor, vous conseille d’identifier les tâches en rapport direct avec votre objectif numéro 1 en y ajoutant un petit indicateur prioritaire (payer la cantine, envoyer ce devis, programmer le baby-sitter, envoyer la maquette à votre client, etc.).
Puis, caractérisez les tâches urgentes, mais non liées à votre objectif principal (réserver les vacances d’été, mettre à jour votre site web…) avec un autre indicateur pour bien les distinguer.
Le fait d’effectuer ce distinguo vous permet de ne pas avoir à tout gérer simultanément et vous évite de porter des charges beaucoup trop lourdes !
Oui, certaines actions peuvent être remises à demain et vous permettent de libérer du temps pour amener un peu de plaisir au planning : aller au cinéma en famille, redevenir un gosse le temps d’un jeu vidéo…
« À chaque fois que je supprime un truc, je m’enlève un kilo de mon sac à dos, et j’ai le sentiment que je respire », nous confie Jérôme, dans le cadre de la formation LiveMentor, consacrée à la gestion du temps.
Conseil nº3 : apprenez à déléguer
Acceptez de ne pas tout faire seul. Que ce soit dans votre entreprise ou à la maison, déléguer certaines tâches peut vous libérer du temps et de l’énergie.
Une fois de plus, nous avons souvent l’impression qu’en tant que parents, nous avons un devoir de perfection, d’être un modèle pour nos enfants.
Comme nous l’a dit un jour un papa que nous formions chez LiveMentor : accepter de déléguer, c’est aussi faire preuve de modestie. Nous ne sommes pas des super-héros, nous avons nos faiblesses !
Vous avez le droit d’embaucher une personne pour faire le ménage, pour vous aider un peu en cuisine, de faire appel à un comptable pour vous aider à gérer les factures.
Vous avez le droit d’appeler à l’aide. Promis, personne ne vous jugera.
En bref, stop à l’hyper-contrôle. Tout planifier à la minute ne va pas vous soulager. Bien au contraire. La course à la productivité finit souvent par générer plus de pression qu’elle n’en évacue.
Lâchez du lest. Non, votre enfant ne souffrira pas psychologiquement si son goûter n’est pas fait maison cette semaine. N’est-il pas plus important de passer du temps ensemble, sans être au bout du rouleau ?
N’oubliez pas d’être bienveillant envers vous-même. Traitez-vous avec la même compassion que vous offririez à un ami parent dans cette situation.
Rappelez-vous que la charge mentale ne disparaît pas toute seule. Elle fond quand on arrête de l’ignorer et qu’on l’aborde de face, en pleine conscience. Alors, cette semaine, posez-vous cette question simple : quelle est la première chose que je peux arrêter de faire, sans que le ciel me tombe sur la tête ?
Si vous avez trouvé la réponse, félicitez-vous. Vous venez de gagner un peu d’espace mental. Croyez-nous, c’est déjà une sacrée victoire.
À votre tour, livrez-nous votre expérience ! Comment vivez-vous l’entrepreneuriat en tant que parent ? Qu’avez-vous mis en place pour gérer votre activité plus sereinement ? Nous sommes à votre écoute !
À dans deux semaines,
La rédaction Mission : Reconversion !
Un mardi sur deux, un email pour réussir une reconversion professionnelle dans votre zone de génie
Démarrer une nouvelle vie, c’est possible ! Dans cette newsletter, nous vous partageons des outils éprouvés pour trouver vos forces, faire disparaître la peur d’échouer et construire un projet aligné avec vos valeurs.
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